TOUT COMMENCE PAR UNE RENCONTRE.
« Bonjour Mesdemoiselles, qu’est ce que je vous sert ? »
C’est les paroles qu’une bonne petite Anglaise de bonne famille entendis avant de lever les yeux pour tomber sur un jeune homme brun avec le teint mat. C’est le premier contacte entre Hector et Victoria, le début d’une longue histoire.
Hector venait d’arriver en Angleterre et avait trouver un petit travail dans ce café ou Victoria venait tout le temps avec ces amies. Au fur et a mesure des passages de la jeune femme dans le café, un jeu de séduction s’installa entre eux. Et en moins de trois mois, une vrai histoire était née. Hector lui avoua qu’il était entré illégalement dans le pays, et c’est comme cela qu’ils décidèrent de se marier rapidement. Les parents de Victoria ne l’accepteront jamais, croyant que ce n’était pas un mariage d’amour et voulant un avenir « plus aisée » pour leur jeune fille. Mais la jeune femme n’était pas du genre a faire ce qu’on lui disait, pour elle c’était lui l’homme de sa vie.
Quatre mois après une belle cérémonie discrète avec simplement les amis, la famille d’Hector étant bloqué au Mexique, le plus beau jour des jeunes mariées arriva. La naissance de leur petite fille Sybelle Lily Ewin.


C'EST PAS INDISPENSABLE.
« Mamannn ! On peut avoir une télé ? S’il te plaîîîît ! »
On entendait les paroles de cette petite fille à travers tout le rayon de la grande surface. Elle tirait sur la robe de sa mère avec insistance en lui faisant son regard triste pour que sa mère cède enfin à sa demande. Mais comme d’habitude sa mère lui demanda de se taire et qu’elles en rediscuteront a la maison. Mais même a 6 ans, la petite avait déjà un fort caractère et ne comptant pas abandonner comme cela.
« Mais toute le monde en a une ! Pourquoi je n’ai pas le droit d’en avoir, moi ? » Demanda-t-elle avec insistance au plein milieu du magasin. Elle avait décidé de ne plus suivre sa mère et donc de rester au plein milieu du rayon, pour peut être réussir enfin a faire céder sa mère. Elle savais bien qu’elle avait plus de chance avec sa mère que son père, lui était encore plus têtue que sa fille et ne risquait pas de céder a un de ces caprices. La mère la voyant en plein milieu du rayon, elle avait bien compris le manège de sa fille. Elle retourna donc au près de sa fille et s’accroupit au près d’elle.
« Tu sais Sybelle, c’est pas parce que tout le monde a ou fais quelques choses qu’ils faut faire pareil. La télé, c’est pas quelques choses d’indispensable, ton père et moi préférons dépenser notre argent pour des choses essentielle, pour toi, ton avenir etc… Tu comprendras plus tard, que tout sa c’est superficiel, que le fais d’avoir une télé ne rend pas les gens meilleur, au contraire. »
La petite fille la regardais avec des grands yeux, sans vraiment comprendre. Mais sa mère avait pris se ton affectueux qu’elle prenait toujours quand elle expliquait a la petite des choses importante qui lui tenais a cœur. Non elle ne comprenais pas que ces parents avait du mal a payer leurs factures, mais elle compris qu’elle n’aura pas de télévision, et cela pour des bonnes raisons même si elles lui échappait. Elle hocha donc discrètement la tête et suiva sa maman sagement.

LE LYCÉE, LES MEILLEURS ANNÉES DE LA VIE… OU PAS.
Comme tout les matins Sybelle se rendait en vélo à son lycée. Alors que tout ces camarades venait en voiture, voir même en voiture de luxe pour certaine, elle elles avait réussi a récupéré un vieux vélo pour pas trop cher un de chez voisins qui voulait s’en débarrassé. Dans le temps, elle avait honte de sa famille, de sa maison, de son statut, tout sa parce qu’elle avais moins d’argent que les autres. Mais avec le temps, les moqueries et les remarques avaient formé une carapace. Elle avait dépensé l’époque où elle rentre en pleurant de l’école et où elle ne voulait plus parler à ces parents. Cette époque avait bien changé, elle avait murie surement plus rapidement que les jeunes de son âge. Maintenant elle avait compris que ces parents ont toujours tout fait pour l’aider, on tout sacrifier pour qu’elle puisse être dans des écoles de qualité. Elle était fière d’être leur fille.
C’est pour ça qu’elle venait en vélo au lycée sans honte, qu’elle arborait les couloirs du lycée avec des vêtements bas de gamme qu’elle mettait depuis plusieurs années sans avoir peur du regard des autres. Mais tout n’était pas parfait pour autant. A peine arrivé devant son casier, que « la bande de filles les plus populaires » venait vers elle, avec la plus idiote de toute, Mademoiselle Olivia.
« Hé la paysanne, t’es allé travaillé dans les champs se matin pour être dans cet état ? »
A peine la voix aigue arrivais dans les oreilles de Sybelle que déjà elle en avais marre. En plus de dire n’importe quoi et de se croire intelligente et marrante, elle avait une voix insupportable. Sybelle leva les yeux au ciel et tout en fermant son casier se tourna vers son « amie ».
« Tu sais dans quel état on est après avoir travaillé toi ? Tu devrais essayer une fois, t’arrivera peut être a quelques choses dans ta vie sans l’aide de papa. »
Sybelle ne pris pas la peine d’attendre une réponse, elle alla en cours, ses bouquins sous le bras. De toute manières Olivia aurai trouvé quelques choses a répondre encore plus stupide qu’elle n’aurais même pas su quoi répondre tellement elle trouverais sa stupide. Elle avait pris l’habitude de recevoir des piques d’elle et de sa bande, et par conséquent de la grande majorité du lycée. Elle avait quand même quelques amis sur qui elle pouvait compter, et cela la satisfaisait amplement.


LA ROUE TOURNE.
Comme tout les week ends, elle passait ses soirées dans une boite très sélecte de la ville. Non la jeune femme ne passait pas son week end a faire la fête, mais c’était un de ces boulots pour pouvoir aider ces parents, et payer ces quelques dépenses sans être dépendante de ces parents. Mais ce soir là, c’était différent. On était vendredi soir et après avoir discuter avec ces collègues et son patron, il lui accorda sa soirée pour faire la fête. Elle s’accorda donc une soirée de folie pour fêter ce qu’elle espérait depuis tout ce temps, ce pourquoi elle avait tellement travaillé. Pendant des années elle travailla dix fois plus que les autres pour avoir les meilleures notes en cours tout en travaillant tout les soirs après les cours dans un café et les nuit du week end en discothèque. Et finalement tout cela avait payé. Elle pouvait commencer une nouvelle vie, dans une autre ville, avec surtout des personnes plus mure que celle du lycée qui passait leur temps a essayé de la faire craquer avec leurs moqueries qui ne l’atteignait plus.
« A L'AMERIQUE ! » « Et a toi Sybelle ! »
Cria un groupe d’amis les verres d’alcools en l’air. Ils avaient un gros événement à fêter, la première partie du rêve de Sybelle se réalisait enfin. Sa demande de bourse avait été acceptée, elle avait pu choisir l’université de son choix. Afin de devenir quelqu’un d’important, elle avait de continuer ces études dans unes des meilleurs a Seattle, une nouvelle vie pouvait commencer...

FINIE LES ETUDES, LA VRAI VIE COMMENCE.
« … Et Félicitation aux diplômé ! »
C’est sur ces mots que tous les chapeaux des 257 élèves s’envolèrent dans les airs accompagnées des cris de joies de tous les nouveaux diplômés de l’université.
Sybelle faisait partis de cela, vêtu de la tenu traditionnelle des diplômés elle serrais dans ces bras ces amis en les félicitant avant de ce diriger vers ces parents qui l’attendait a quelques mètre d’elle. Sa mère, une petite blonde aux bleu avait les larmes aux yeux, mais souriait tout comme Hector, le père de Sybelle qui lui avait le teint mate et les cheveux noir tout comme ces yeux. Sybelle se dépêcha de les rejoindre pour les serrer dans ses bras. C’était une journée pleine d’émotion et surtout de joie pour la famille Ewin.
« On est si fière de toi ma Sybelle ! » Dit la petite dame, encore des sanglots dans la voie. « Maintenant que tu n’as plus a révisé, tu a intérêt a venir plus souvent à la maison ! » Sybelle ria en entendant ces paroles, sa mère était très déçu que sa fille resterait à Seattle pour commencer sa vie active, elle pensait qu’elle allait revenir au pays près de sa famille.
« Bien sur maman, je viendrais dès que j’ai des vacances ! » En effet Sybelle avait trouvé un premier travail dans une entreprise pharmaceutique très réputée dans tout le pays, et ne comptait pas louper une si bonne expérience. C’était dure d’être loin de sa famille, mais elle s’était fais beaucoup d’amis ici et si plaisait bien. La vie allait enfin commencer, tout ce qu’elle désirait s’était quasiment réalisé. Reste plus qu’a profiter de la vie !